1. S’informer en amont sur le déroulé
Les outils/formulaires utilisés et les intentions de l’entretien annuel. Notamment lorsque le collaborateur est en début de carrière ou vient d’intégrer une nouvelle structure.
2. Dresser un bilan objectif de l’année écoulée
De ses réussites et des « flops ». Cette rétrospective peut être conduite en se basant sur les objectifs définis, les conclusions établies, etc. lors du dernier entretien annuel.
3. Préparer l’entretien par écrit
De quoi expliquer précisément le jour J pourquoi tel objectif n’a pu être atteint, quels freins ont été rencontrés mais aussi valoriser les actions nouvelles initiées en parallèle…
4. Faire le point sur ses envies d’évolution professionnelle
Objectifs à court terme, nouveau poste visé, besoins en formation, aspirations à plus long terme…
5. Adopter une posture positive et constructive
Il s’agit de dédramatiser et de transformer les craintes de « devoir rendre des compte » en désir d’échanger pour progresser encore.
6. S’autoriser à être soi
En retraçant le vécu professionnel de l’année avec sincérité et authenticité. Seuls des échanges sans « langue de bois » peuvent favoriser une meilleure compréhension mutuelle entre manager et managé.
7. Echanger sereinement sur la rémunération
Ni sujet tabou ni revendication, la question de la rémunération doit être discutée posément sur la base d’éléments factuels (rémunération pratiquée sur le marché, réussites demandant d’être valorisées, etc.).
8. Tirer des enseignements pour la suite
L’entretien annuel n’est pas un arrêt sur image jusqu’au suivant… un an plus tard. Riche en enseignements, il constitue d’abord un outil pour progresser professionnellement. Et s’inscrire dans une démarche d’amélioration personnelle.